J’ai découvert l’an dernier le festival Etonnant Voyageur et sa tranquillité bien éloignée des tumultes du festival Quai des Bulles se tenant pourtant dans la même cité, voir dans les mêmes lieux. Cette année, point de tranquillité, trop de grosses pointures qui ont rameuté les chasseurs de dédicaces et les passionnés hardcore. Autant dire que j’avais vite prévu de me centrer sur les « petits » auteurs, ceux accessible et en capacité de prendre le temps de papoter.
Riff Rebs, j’étais parti dans l’idée de ne pas le rencontrer, du moins en dehors de l’interview que Jacques (du blog Un amour de bd) et moi menions de concert. Mais Jacques m’a poussé à sortir de ma zone de confort, et tandis qu’il demandais une dédicace après l’interview sur nos exemplaires d’Hommes à la mer, en a demandé une pour moi aussi. Au motif que je n’aime pas demander ça comme ça, ce qui est vrai. Riff nous a bien cueilli en disant que j’avais bien raison. Mais bon, il nous a quand même dédicacé nos albums. Petite conclusion d’une interview et d’une rencontre très sympa. Mais du coup, ça me confirme dans l’idée que je ne mêlerai plus interviews et dédicaces. Je préfère ne pas mélanger les deux postures, le chroniqueur d’un côté, le fan de l’autre. un temps pour tout.
Merci quand même Riff Rebs, de t’être prêté au jeux.
Les Chroniques de l'invisible 